mercredi 1 mai 2019

Rencontre avec l'acteur Lee Majors / avril 2019


RENCONTRE AVEC L'ACTEUR LEE MAJORS

Lee Majors est le ''responsable'' de ma passion pour l'espace, enfin... plus exactement Steve Austin de l'Homme qui valait trois milliards, qu'il a interprété de 1973 à 1978 durant les 103 épisodes et 1 pilote de cette série.

J'avais à peine 5 ans quand je l'ai vu (la série) pour la première fois. Et là, moi aussi, j'ai décidé de devenir astronaute. J'ai décidé d'écrire aussi à un astronaute (c'était John Young). Il m'a répondu avec des photos dédicacées et de la documentation. Ma passion pour l'espace et ma collectionnite aiguë sont nées de cette série.

J'avais eu l'occasion de rencontrer, très très rapidement, Lee Majors lors d'une convention en Floride il y a quelques années, mais pas assez pour lui parler et/ou faire une photo avec lui. Puis en début d'année, j'apprends qu'il sera présent à une Convention en avril à Dortmund en Allemagne.

Je ne pouvais manquer une pareille occasion - je voulais voir, parler, discuter et faire une photo avec ''l'idole de ma jeunesse'', avec celui qui a tout déclenché...

C'est donc cette rencontre que je vais vous raconter ici, avec un petit entretien que j'ai pu avoir avec Lee Majors.

Il s'agissait de la German Comic Con Dortmund 2019. Le principe des conventions est simple : des personnalités du cinéma, des séries tv, du sport, etc... viennent rencontrer le public lors de séances de dédicaces, de photos individuelles (et/ou groupées), et de session de questions-réponses lors de petites conférences publiques. Tout n'est pas gratuit, loin de là : entrée de la convention, autographes, photos, seules les petites conférences sont gratuites. Je sais que cela en rebute beaucoup (mais cet état de fait que ça rebute semble très spécifique à la France, même si ce genre de conventions commencent, et c'est tant mieux, à se faire de plus en plus chez nous).

J'adore les conventions. C'est un moment que je trouve spécial et la plupart des personnalités invitées jouent le jeu cde la rencontre avec son public (il y a des exceptions bien sûr). C'est un moment rare et unique pour rencontrer ces personnes, et il faut aussi l'avouer, s'assurer de l'authenticité d'un autographe par exemple. On peut amener ce qu'on veut (ou presque) à faire signer (il y a un barême de prix différent en fonction dce la notoriété de l'invité).

Je trouve toujours un petit moment pour discuter . Il faut ''appater'' la star en lui montrant un truc original et en lui parlant de quelque chose qu'il ne rabâche pas à longueur d'interviews. Et une fois le contact pris, si le moment et l'opportunité le permettent, on peut passer un moment absolument unique et magique (je vous montre régulièrement des rencontres magiques pour moi).

Le programme des invités de cette Comic Con était très intéressant (bien que les deux stars de Beverly Hills aient annulé quelques jours avant).

Pour moi, j'y allais surtout (et quasi uniquement) pour Lee Majors dont c'était la première véritable convention en dehors des Etats-Unis qu'il faisait. 

Dortmund est à quelques 580 km de Paris et le moyen le plus simple, le plus économique d'y aller, c'est par la route, par le car. Mais ce n'est pas le plus rapide, ni le plus reposant !

Je suis donc parti avec un petit sac à dos (contenant un change minimum, ainsi qu'une petite trousse de toilette), mon  appareil photo qui serait mon téléphone, les documents à faire signer, et mes papiers. Autant voyager cool, léger et sans manteau pour ne pas encombrer !

Départ le 13 avril à 22h. Très peu de monde. On passe par la Belgique, l'Allemagne avec beaucoup de stops (j'adore voyager en car = j'ai fait la traversée des USA de New York à Los Angeles en car, et j'ai adoré). Arrivée à l'aéroport de Cologne, je croise l' Airbus A300 Zero G de Novespace, qui y est exposé depuis qu'il a été remplacé par un A310. Et photographier un avion sur le bord de la route à travers la vitre d'un car à 05h00 du mat, ce n'est pas chose aisée 😂 Et je le reverrai au retour.

J'arrive à Dortmund au petit matin en ayant très peu dormi. Mon programme est simple : la convetion qui ouvre à 09h00, un photoshoot avec Lee Majors à 11h00, puis départ pour Paris à 21h pour une arrivée à 06h00. Autant vous dire que c'est le genre de voyage un peu épuisant...

Mais pouvoir aller rencontrer la personne qui ''est responsable'' de ma passion pour l'espace, le spatial, valait bien tout ça.

A peine arrivé à la gare routière de Dortmund, il devait être 07h du mat (pour une ouverture à 09h00), direction les sanitaires pour une toilette rapide mais efficace - ce qui est bien, c'est que tout est prévu pour les voyageurs. Après une nuit en car, ça fait du bien. Et j'ai même découvert un nouveau type de toilettes à lavage automatique 😂😂😂

Le centre des congrès n'est pas très loin, en métro... sauf que celui-ci ouvrait à 09h00 car nous étions un dimanche ! J'ai donc trouvé un taxi qui m'a emmené au centre de convention en quelques minutes. J'ai pris au passage et offert la course à deux demoiselles qui avaient fait le trajet en bus en même temps que moi, et qui étaient complètement perdues (c'était leur première convention et elles venaient voir principalement Elisabeth Olsen = la sorcière rouge des Avengers).

A l'arrivée devant le centre de convention, pas mal de monde déjà. Mais l'attente à été très courte, car à 09h15, j'étais dans la place 😉 (bon, j'avais aussi pris un billet VIP justement pour être tranquille). Et l'accueil était plutôt chaleureux à l'arrivée 😂😂😂

Une des premières choses que je fais en général, c'est de repérer les lieux, et surtout où se trouvent les invités, car avec des dizaines du guests, il vaut mieux anticiper que de perdre trop de temps ensuite (et oui, faire une convention, et optimiser sa venue, ça ne s'improvise pas justement pour optimiser).

Mon photoshoot avec Lee Majors étant à 11h00 , je repère donc où est sa table de dédicace. J'ai plusieurs choses à lui faire signer. Et sur sa table, je repère déjà les photos proposées également à la signature pour ceux qui n'auraient rien amenées (photo à choisir comprise dans le prix de l'autographe et toujours en tirage photo de très grande qualité).
Et là, surprise, les photos proposées concernent uniquement L'homme qui tombe à pic, car en Allemagne, Lee Majors est surtout et quasi uniquement connu pour cette série-là (bon, j'aimais aussi beaucoup la série).
D'ailleurs, un GMC Chevrolet Sierra K2500 a été disposé juste en face de sa table. Un des exemplaires oriinal de tournage, acheté, ramené, restaurer à l'identique de la série par un collectionneur allemand (avec qui j'ai sympathisé et j'aurai une anecdote sympa à ce sujet en toute fin de cet article).

Mon ''objectif'' principal était de faire signer à mon nom au moins deux photos de L'homme qui valait trois milliards, images que j'avais recréees et modifiées d'après des images de la série. Donc, photos que je pensais bien être ''assez sortant de l'ordinaire'' pour engager une vraie discussion avec Lee Majors, qui a la réputation d'être très gentil mais peu bavard.

Et alors que je venais de quitter la table pour voir les photos proposées, et que je faisais des photos de mes photos à faire signer devant la table, une charmante femme vient m'accoster, me demande en souriant ce que je fais, et s'émerveille devant mes deux photos. Je lui explique et lui dis que je viens spécialement de Paris pour voir l'homme qui m'a donné l'envie de devenir astronaute quand j'étais gamin, et qui a fait de ma passion ce qu'elle est aujourd'hui !

Elle sourit, me demande de patienter un instant, sort son téléphone et appelle rapidement quelqu'un. Il est 09h40 et je m'apprête à me mettre en queue pour le photoshoot de 11h00 afin d'être dans les premiers pour revenir faire la queue à la table de Lee Majors, supposant, à juste titre qu'il y aurait du monde.
A ma grande surprise, elle me fait approcher de la table, on la contourne, elle ouvre le rideau, et surprise.... je me retrouve avec Lee Majors en personne, qui vient d'arriver. En fait, c'est sa femme Faith ! Elle lui explique qu'y je suis et pourquoi je suis là, s'ensuit une longue poignée de main, et une petite discussion de quelques minutes. Elle lui tend mes photos et il s'asseoit pour les signer, avant même le début de la séance de dédicaces, en cadeau...
Je demande timidement s'il sera possible de discuter pour une petite interview, il me dit sans problème, qu'on discutera pendant les moments où il sera libre et de rester à proximité. Je le remercie chaleureusement et fais route pour faire la queue au photoshoot. Il n'est pas 10h00 et j'ai rempli mes objectifs de ma venue 😊😊😊

Le phoshoot se passe à merveille, et je retourne ensuite, après m'être restauré, à la table de Lee Majors où beaucoup de monde attends Colt Seavers... apparemment, il n'y a que moi qui vient pour Steve Austin 😂

J'ai donc le temps de papoter, surtout avec le propriétaire du Chevrolet.

Je suis donc de nouveau avec Lee Majors - j'achète plusieurs dédicaces et on se met à discuter. Voici donc cette petite interview (ah, enfin, me direz-vous 😂) faite en plusieurs fois dans l'après-midi.

C'est incroyable pour moi de pouvoir échanger avec vous. Vous avez fait tellement partie de moi étant enfant que je n'en reviens toujours pas d'être avec vous ! Et je sais que je ne suis pas le seul, il suffit de voir toutes ces personnes ici présentes. Elles sont pour la plupart de ma génération, quel effet ça fait, ça vous fait, d'avoir ''été le héros'' de tant de monde (Steve Austin ou Colt Seavers) ?
Merci beaucoup !

Ce qui est surtout satisfaisant, c'est de voir que vous avez fait votre travail, et bien fait vôtre travail. C'est vraiment réjouissant de voir, des années après, que c'est grâce à votre travail que les gens viennent continuer à vous voir.

Quand on travaillé sur une série, tous les jours, et ce même quelques années, on ne voit pas tout de suite l'impact que la série peut avoir sur les gens. J'ai été très surpris de sa popularité bien après.

Vous avez toujours voulu être acteur ?
Non, au début, c'était plutôt du sport, athlétisme et football (américain=ndlr). Football que j'ai pratiqué à l'université dans l'Indiana puis dans le Kentucky. J'ai été blessé. Je me suis sérieusement mis à penser à devenir acteur ensuite tout en continuant mes études en éducation physique.

Vous avez commencé par des séries mythiques, Gunsmoke et Alfred Hitchcock presente, avant de devenir Heath dans The Big Valley (La Grande Vallée). Quel(s) souvenir(s) avez-vous ?
Un grand soulagement ! (rires)
Pour les deux premiers, c'étaient des petits rôles, et j'avoue que j'étais un peu inquiet pour le casting de The Big Valley. On était très nombreux, plus de 400 si je me souviens, pour un des rôles pricipaux, dont Burt Reynolds.

Comment avez-vous commencé sur L'homme qui valait trois milliards ?
Au début, c'était un téléfilm, qui est devenu un pilote par la suite.
J'ai vraiment hésité à accepter car lorsque j'ai reçu le script original, tiré de Cyborg de Martin Chaikin, on y évoquait un homme qui sautait de building en building, un peu comme dans la série Batman (rires...), et ça ne me tentait pas vraiment. Batman n'était pas ''très sérieux'', et je préférais quelque chose de plus sérieux.
Finalement, on m'a dit que ça serait totalement différent de Batman, alors j'ai accepté (rires...).

Ce premier téléfilm était très bien. Un excellent souvenir.

Vous avez pu visiter les installations de la NASA et monter dans des avions mythiques. Et mettre aussi des combinaisons qu'on ne pourrait plus toucher maintenant.
Oui, c'était incroyable. Je découvrais un peu ce monde. Mais c'est surtout avec le succès de la série que j'ai mesuré la chance que j'avais eu de monter dans ces avions et porter ces combinaisons. D'ailleurs, qu'est-ce-qu'il faisait chaud dedans (rires...).

Et puis, il y a eu la série....
Avant, nous avons fait un deuxième téléfilm. J'étais un peu moins à l'aise avec Steve Austin qui devenait ''trop James Bond et gadgets''. Heureusement, quand a décidé de faire la série, c'était plus du Steve Austin sans trop de gadgets.

Vous avez eu des exigences sur cette série ?
Non, pas vraiment... Malgré qu'il soit bionique, je voulais surtout que Steve Austin soit et reste humain. Vous avez remarqué qu'il n'utilise ses capacités bioniques que s'il a besoin (ou presque) et surtout, on ne montre pas de sang. Steve Austin ne tue personne. Et je pense que c'est un élément qui a fait que c'était un programme très familial finalement.

Vous ne vous vous êtes pas ennuyé à un moment ? Tous ces combats contre ces méchants ?
(rires...) C'est courir, sauter, me rouler par terre qui commençait à me fatiguer, surtout quand on répétait la prise plusieurs fois. Je me souviens avoir fait plusieurs prises d'une scène de course sur la piste d'Edwards à près de 40°. C'est magique la première fois, c'est exténuant et barbant la 5 ou 6ème fois (rires...) 
Le seul truc ennuyeux, si on veut, c'est que le tournage était soit en studio, soit loin des villes, en usine, en centrale électrique, en forêt. Et qu'il n'y avait pas de personnage féminin (sourire....).

Comment s'est passé le tournage de l'épisode avec Big Foot ?(2 épisodes de la saison 3 de 1976=ndlr) 

(Rires...) Très bien. Je savais que vous alliez m'en parler. Tous les fans de Staeve Austin m'en parlent. 
Vous saviez que c'était un français qui jouait rôle du robot alien Big Foot ? André the Giant (André le Géant 1946-1993). Il était très amical, très drôle, mais lorsqu'il m'a soulevé au-dessus de sa tête à bout de bras, je n'en menais pas large (Rires...). Près de 2,20 mètres et plus de 200 kg, et il a fait ça comme si de rien n'était. C'était un vrai gentlema, pas une égratignure pendant les combats

C'est pour mettre une touche féminine que Jaimie Sommers est arrivée (alias Super Jaimie jouée par Lindsay Wagner) ?
Un peu.
Mais à mon avis, après la chaîne (ABC) a voulu trop en faire. Il y avait Steve Austin, Jaimie Sommers qui aura sa propre série (Super Jaime=ndlr), puis Max le chien bionique et même un enfant bionique.
Et finalement, la série s'est arrêté au bout de 5 saisons. Après plus de 100 épisodes, j'étais vraiment exténué. Cela a fait du bien de m'arrêter, de me reposer un peu. Cinq années très intenses.

(ndlr = Lee Majors était marié à Farah Fawcett (1947-2009), et pendant qu'il était une star avec Steve Austin dans L'homme qui valait trois milliards (1974-1978), elle, était, elle, une star en jouant Jill Monroe dans Drôles de Dames (1976-1981). Leur mariage n'a pas survécu à cette starification du couple).

Si vous deviez choisir, quelle est votre série préférée ? La Grande Vallée ? L'homme qui valait trois milliards ? L'homme qui tombe à pic ?
Les trois ! (rires....)
The Big Valley, que j'aime beaucoup ! Être un cow-boy, c'est un peu le rêve de tout gamin...

The Six Million Dollar Man, parce que ça été ma série la plus intense, la plus ''chaude''. Pilote, astronaute, agent secret, encore des rêves d'enfant !

The Fall Guy, parce j'ai pris plein de risques et j'ai adoré les prendre (il fait la plupart des cascades lui-même=ndlr). Plein de risques même, dont celui de chanter le générique (rires...). Et c'était tellement différent de Steve Austun, j'en avais besoin.

Au final, être acteur, c'est réaliser des rêves d'enfant : cow-boy, pilote, astronaute, agent secret, cascadeur, casseur de primes, ... voilà pourquoi j'aime toutes ces séries et ce que j'ai fait comme acteur !

- - - - - - - - - - - - - - - - - - -
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 

J'ai donc passé plusieurs agréables et inoubliables moments avec Steve Austin, euh pardon Colt Seavers, pardon, avec Lee Majors !

Je lui fait signer quelques autres documents avant de le laisser pour le moment. Il était prévu qu'il fasse une petite conférence et une session de questions-réponses avec le public en fin d'après-midi, mais il a préféré continuer de voir ses très très nombreux fans à sa table plutôt que de passer une heure sur scène, et que de faire de nombreux décus qui s'étaient déplacer spécialement pour lui.

Chose amusante, à côté de Lee Majors se trouvait les actrices Jennifer Morrison (Allison Cameron dans Dr House et Emma Swann dans Once Upon a Time), littéralement submergée par les visiteurs, et Danielle Panabaker (Caitlin Snow/Killer Frost dans la série Flash). Cette dernière quitte sa table pour venir nous écouter Lee Majors et moi, lors d'une petite accalmie pour elle. C'était marrant de l'entendre lui dire qu'elle était fan de Colt Seavers lors des rediffusions qu'elle regardait enfant.
(Jenniffer Morrison submergée de cadeau car c'était son annversaire l'avant-veille)

J'ai été la revoir par la suite, et on a discuté quelques minutes de Flash, série qu'adore mon fils. Outre une photo signée que je lui ai ramenée, j'ai pu faire une sympathique photo avec Danielle Panabaker (regardez bien le panneau derrière elle 😂 ). C'est Timothy qui a été jaloux.
J'ai continué ma visite avec des stands incroyables, dont celui-ci avec des props (accessoires) ayant réellement servi sur les tournages de The Thing et de la saga Alien (40 ans de la sortie du 1er opus oblige).
Bon, j'ai croisé aussi une superbe DeLorean.
Les ambiances lors des conventions sont souvent très particulières, et chacun éprouve un sentiment personnel. A chaque fois, pour moi, je suis littéralement plongé dans un autre monde, et ces quelques heures d'évasion me font un bien fou.
Juste à côté de la Comic Con, dans un hall différent c'est tout, se tenait le Week-end of Hell, consacré plutôt, vous l'aurez deviné, aux acteurs ayant tournés dans films ou séries cultes d'un genre très particulier (avec beaucoup d'hémoglobine 😂).
Certaines stars de ma jeunesse cinématographique du genre étaient là. L'invité spécial de cet événement était Dolph Lungren qui restera pour moi Drago dans Rocky. Geâce à mon pass VIP, j'ai pu y accéder. Impossible de voir Drago tellement il y avait du monde, je ne l'ai vu qu'à une dizaine de mètres - pas bien grave, je l'avais déjà rencontré beaucoup mieux lors d'une avant-première des Expandables à Paris.

Un salon très intéressant, avec plein de souvenirs, et pas qu'à acheter 😂, et des stars, pour certaines un peu vieillissantes 😉 Mais une bonne surprise en la personne de Jennifer Carpenter, une des plus célèbres Scream Queen actuelles (mais aussi Debra Morgan, la soeur de Dexter). Nous avons passé plusieurs minutes à discuter de Dexter, qu'adore ma fille Maddy, et c'était très sympa.
Comme je vous disais plus haut, lors de ce genre de convention, il y a les petites conférences qui sont des moments attendus par beaucoup de monde, notamment parce qu'il y a généralement une petite session de questions-réponses avec le public.

Tous les invités, ou presque, de la Comic Con ont fait une petite apparition pour se livrer à une session de questions avec le public. C'est toujours très intéressant. Mais entre écouter, un photoshoot et faire la queue pour un autographe, ce n'est pas toujours facile, et cela s'enchaîne du matin au soir - c'est pour ça que bien s'organiser est important, surtout quand on est seul. Il faut éviter de se laisser distraire et bien programmer sa venue pour pouvoir faire un max de choses sans être déçu.

Jennifer Morrison

Le cast, enfin une partie, du cast de Gotham

Elisabeth Olsen

Charlie Sheen

Je vous parlais du propriétaire du GMC Chevrolet de L'homme qui tombe à pic. Le propriétaire, un allemand qui l'a fait restauré, était très fier que son véhicule soit positionné devant la table de Lee Major qui ne pouvait manquer de le voir.
Mais était trop timide pour oser demander une photo de Lee Majors avec sa voiture. Je lui ai dit venir avec moi, et on a été voir Faith Major pour lui expliqué d'où venait le véhicule et sa restauration, et si Lee pouvait venir le voir de plus près et faire peut-être une photo avec. Entre deux signatures, elle a fait venir Colt Seavers, pardon, Lee Majors. Il a fait des photos devant, sur le côté, à l'intérieur, et à même dédicacé la boite à gant. Voilà un visiteur-exposant heureux !

Après cette journée bien remplie et riche en émotion, je suis rentré, quelque peu à regret, à Paris.

Crédit : Stéphane Sebile / Spacemen1969
             Space Quotes - Souvenirs d'espace

1 commentaire: